jeudi 13 mars 2008

de quatre à six




1 commentaire:

Anonymous a dit…

Des tubes et des couleurs incroyables, comme une usine à gaz, de glace pourtant, figée par le temps qui fait fondre les murs.
L'immobile promenade en huis clos donne à voir l'improbable, les couleurs de l'oubli.
Du mot de Thiers je me souviens pour Shimoda : "le mur murant l'oubli rend l'oubli murmurant".
La révolte en somme
Merci l'Ami
Abraço